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sandokhane

salut tout le monde

welcome to me

 

 

je t'aime encore

 

L'amour c'est...

Penser à quelqu'un
Et ne pas l'oublier


C'est sentir son parfum
Sans même le toucher

C'est croire à son destin
Et espérer plus fort


C'est suivre son chemin
En espérant encore

Avoir besoin de lui
L'aimer à chaque instant
Que ce besoin de lui
Devienne maintenant

Un désir, une envie
De lui donner encore
Et pour toute la vie
Son âme et son corps

Si toi tu l'aimes ainsi
Il faudra le lui dire
Pour ne pas qu'il oublie
Et pour le faire frémir

Le couvrir de baisers
Toujours plus langoureux
Afin de le laisser
Un peu plus amoureux

Qu'il ait envie de toi
Un peu plus chaque jour
Qu'il ait besoin de toi
Et bien c'est ça l'amour !

 

CONTE D’ AMOUR

 

 

Un jeune homme voulait se marier. La mort brutale se dresse devant lui :

le jour de ton mariage, dit-elle, tu vas mourir. "

Le jeune homme tressaille. Il ne dit rien. Il s’en va, il arrive au pied du mont Pletchna. Là-haut, assis sur son trône aérien, un vieillard à longue barbe blanche apparaît, son sceptre à la main. Son visage est lumineux. Il demande :

Mon garçon, pourquoi es-tu ici ? où vas-tu ? "

" Moi, dit le jeune homme, je fuis la mort "

Le vieillard réfléchit, il hoche la tête, se frotte la barbe, et se tourne vers le jeune homme :

" Crois-moi, personne encore n’a réussi à échapper à cette horrible peste. Mais, écoute, c’est moi qui détiens le pouvoir de couper le fil de la vie, c’est moi qui dis : Prends l’âme d’un tel, qu’un tel ait une vie brève, un tel une longue vie. "

  • Mais qui es-tu, Bâb ?
  • On m’appelle le Temps
  • Si tu as une telle puissance entre les mains, Bâb, je me jette à tes pieds, délivre-moi, tu vois que je suis un jeune garçon, plein de désirs, pourquoi la mort me fait-elle une telle vilenie, que lui ai-je fait ?

Le vieillard s’apitoie et dit :

" Puisqu’elle t’a fait peur, et que tu t’es sauvé, sois un vagabond, va maintenant, à cent pas d’ici, à droite sous un prunier sauvage coule une source limpide comme un œil de grue, va, bois cette eau, ta peur s’évanouira et la patience tu acquérras, va ton chemin ! que Dieu soit avec toi, va ! "

Le jeune homme baise les mains du vieillard, le remercie, va boire l’eau qui dissipe sa peur et le rend patient. Il se met en route, il marche, il marche… Il arrive dans une ville au bord de la mer, il y travaille plusieurs années, il gagne beaucoup d’argent, il retourne dans son village.

A peine entré dans sa maison, soudain, la mort se dresse devant lui.

  • Tu t’étais sauvé, hein ? Mais qui peut s’arracher de mes mains ? Allons, donne-moi ton âme ! "

La mère se jette entre eux :

Mon jeune enfant, dit-elle, pourquoi veux-tu le tuer ? Si tu veux une âme, prends la mienne ! "

La mort lui retire son âme, depuis les pieds jusqu’à la gorge. La mère ne supporte pas la douleur, elle dit :

Ah ! Ah ! Ne prends pas mon âme ! "

Le père se jette entre eux :

Mon fils unique, le pilier et la lumière de ma maison, ne le tue pas, si tu veux une âme, prends la mienne ! "

La mort lui retire son âme, depuis les genoux jusqu’au bout de la langue. Le père ne supporte pas la douleur, il dit :

Par la grâce de ton soleil, ne prends pas mon âme ! "

Alors le garçon dit :

Je ne leur en veux pas, ils ont voulu partager ma faute.

Puisque tu es venue, viens, allons chez ma fiancée, si elle ne veut pas donner son âme, alors, contre mon gré, tu prendras la mienne. "

Ils vont chez la fiancée. Quand la jeune fille les voit, elle ne fait aucun cas de la mort, elle court, elle se serre contre son bien-aimé, elle l’embrasse passionnément, elle l’enlace, on dirait qu’ils ne sont qu’une âme et qu’un corps.

Holà, dit la mort, ça suffit ! mon temps est compté. Quelle est ta décision maintenant ? "

  • Qu’est-ce que tu veux ? demande la jeune fille.
  • L’âme du garçon.
  • Ne prends pas la sienne, prends la mienne !

La mort lui retire son âme depuis les ongles jusqu’au bout des cheveux. La jeune fille dit :

Pourquoi me tortures-tu ? Si tu veux mon âme, prends-la d’un seul coup ! Seulement, avant de la prendre, laisse-moi embrasser mon fiancé encore une fois

La mort prend l’âme de la jeune fille, mais elle est très étonnée, elle regarde le garçon, elle regarde la fille… Son cœur s’attendrit, elle lui rend son âme, elle les laisse et s’en va.

Les fiancés, débordant de joie, rentrent à la maison. Ils font la noce pendant trois jours et trois nuits, ils réalisent leurs vœux.

Trois pommes sont tombées du ciel, une pour la mariée, une pour le marié et une pour le vieillard à barbe blanche qui a été, est et sera jusqu’à la fin du monde. Amen.

 

 

Conte d'amour

 
Dans les jardins mouillés, parmi les vertes branches,
Scintille la splendeur des belles roses blanches.

La chenille striée et les noirs moucherons
Insultent vainement la neige de leurs fronts :
Car, lorsque vient la nuit traînant de larges voiles,
Que s'allument au ciel les premières étoiles,
Dans les berceaux fleuris, les larmes des lutins
Lavent toute souillure, et l'éclat des matins
Fait miroiter encor parmi les vertes branches
Le peplum virginal des belles roses blanches.

Ainsi, ma belle, bien qu'entre tes bras mutins
Je sente s'éveiller des désirs clandestins,
Bien que vienne parfois la sorcière hystérie
Me verser les poisons de sa bouche flétrie,
Quand j'ai lavé mes sens en tes yeux obsesseurs,
J'aime mieux de tes yeux les mystiques douceurs
Que l'irritant contour de tes fringantes hanches,
Et mon amour, absous de ses désirs pervers,
En moi s'épanouit comme les roses blanches
Qui s'ouvrent au matin parmi les arbres verts.

 

LES PRÉSENTS

 



Si tu me parles, quelque soir,
Du secret de mon coeur malade
Je te dirai, pour t'émouvoir
Une très ancienne ballade.

Si tu me parles de tourment,
D'espérance désabusée
J'irai te cueillir, seulement,
Des roses pleines de rosée.

Si, pareille à la fleur des morts
Qui se plaît dans l'exil des tombes,
Tu veux partager mes remords...
Je t'apporterai des colombes.

 

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